structures biochimiques - notion, biopathologie, prelévement et transmission des echontillons (part 01)

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Introduction: 

cour contient quelle que notions sur certaines structures biochimiques tell que: 

- Antigène carcino embryonnaire (ACE)
- Acide urique
- Aldolase
- Aldosterone plasmatique
- Bilirubines
- Gaz du sang
.... etc


ANTIGENE CARCINO EMBRYONNAIRE (ACE)

Les procédures communes aux prélèvements et particulières au laboratoire font l’objet d’instructions
spécifiques.
L’antigène carcino-embryonnaire, ACE, est un marqueur de première intention des cancers
colorectaux.

BIOPATHOLOGIE
L’ACE n’est pas spécifique d’un tissu tumoral et des taux élevés peuvent être observés dans
divers cancers, notamment cancer médullaire de la thyroïde.
L’ACE peut être présent dans les liquides biologiques de cancers de proximité, bile, liquide
pleural, ascite, urines
Des augmentations du taux d’ACE sont observées lors de :
- pathologies bénignes digestives (cirrhose) et pulmonaires
- tabagisme, insuffisance rénale chronique : les taux sériques, dans ce cas, sont
rarement supérieurs à 10 μg/l.
Prise en charge limitée au suivi thérapeutique : indiquer sur la prescription, la pathologie,
ainsi que les modalités et la date du traitement.

PRELEVEMENT ET TRANSMISSION DES ECHANTILLONS
Echantillon
Le sang veineux doit être recueilli sans anticoagulant, mais selon la technique de dosage,
l’héparine ou l’EDTA peuvent éventuellement être utilisés comme anticoagulant.
Le dosage peut être effectué sur un liquide de ponction (kyste, ascite…).
Prélèvement
La programmation et la périodicité du prélèvement sont fonction de la pathologie, de la
thérapeutique, de l’objectif du dosage (suivi, réponse au traitement, pronostic…)
Prélever une quantité suffisante de sang pour effectuer l’analyse et conserver une quantité
aliquote dans la sérothèque.
Pas de variations nycthémérales décrites ; le jeûne ne semble pas indispensable.
Particularités
Selon la technique de dosage, l’hémolyse ou la lipémie peuvent interférer dans le résultat.
Les dosages successifs sont effectués avec la même technique de préférence par le même
laboratoire ; cet examen est réalisé avec reprise d’un échantillon précédent conservé au
moins un an.
Transmission
Pour la conservation et le transport, les températures suivantes sont recommandées : +2 à
+8°C pendant 24H après le prélèvement, puis –20°C.
L’horodatage du prélèvement ou du recueil, de l’acheminement et de la réception de chaque
échantillon au laboratoire ainsi que l’identification de toutes les personnes qui accomplissent ces
tâches sont essentiels.


ACIDE URIQUE
Les procédures communes aux prélèvements et particulières au laboratoire font l’objet d’instructions
spécifiques.
code NABM : 0532

BIOPATHOLOGIE
Il existe différents facteurs de variations :
- l’âge : augmenté à la naissance puis diminue rapidement. Augmentation à
l’adolescence surtout chez les garçons.
- le sexe : les valeurs adulte homme sont supérieures de 20 à 30% ;chez la femme il
existe des variations en fonction de la phase du cycle menstruel (valeurs supérieures
pendant la phase folliculaire) ; au cours de la grossesse l’acide urique diminue pendant
les cinq premiers mois (augmentation de la clairance ) puis augmente à nouveau (prééclampsie)
- la saison : 5 à 7 % plus élevé l’été que l’hiver ;
- le poids :corrélation positive avec le poids chez les adultes (nette surtout pour les poids >
80 kg)
- l’exercice physique
Il faut noter également :
- l’augmentation de l’uricémie dans les régimes hyperprotidiques (dans le sang et l’urine)
et hypercaloriques, et après ingestion d’alcool ;
- l’augmentation en période de jeûne prolongé (augmentation du catabolisme protidique),
en cas de fièvre ;
- les fumeurs ont des concentrations plus faibles que les non fumeurs.
Certains médicaments augmentent les valeurs (certains diurétiques qui modifient
l’excrétion urinaire de l’acide urique, des anticancéreux ) et d’autres les diminuent
(hypouricémiants).

PRELEVEMENT ET TRANSMISSION DE L’ECHANTILLON
Echantillon
Sang recueilli par ponction veineuse au pli du coude
Dosage sur sérum ou sur plasma hépariné
L’oxalate et le fluorure sont à proscrire car ils inhibent l’uricase enzyme utilisée dans la
plupart des méthodes de dosage
Prélèvement
De préférence à jeun et au repos
Particularités
Cas particulier des patients traités par uricolytiques : l’effet de l’uricase (uricozyme) se
poursuit in vitro. Dans ce cas il faut réfrigérer le prélèvement, effectuer le transport dans la
glace, centrifuger à froid, et pratiquer le dosage immédiatement. L’ensemble de ces étapes
doit être inférieur à 1heure.
Il est possible également de prélever sur tube spécial contenant de l’acide perchlorique pour
éliminer l’uricase par déprotéinisation.
Transmission
Conservation du plasma : 3 jours à température ambiante
7 jours à +4°C
6 mois à –20°C
Dans le cas d’un traitement par uricolytique : pas de conservation possible
au delà de une heure à +4°C et 48 heures à –20°C
L’horodatage du prélèvement ou du recueil, de l’acheminent et de la réception de chaque échantillon
au laboratoire ainsi que l’identification de toutes les personnes qui accomplissent ces tâches sont
essentiels.




ALDOLASE
Les procédures communes aux prélèvements et particulières au laboratoire font l’objet
d’instructions spécifiques
Code NABM :1513

BIOPATHOLOGIE
Il existe une variabilité importante en fonction de l’âge : les valeurs à la naissance sont
environ 2 fois supérieures à celles observées chez l’adulte ; Chez le jeune enfant, ces
valeurs doublent encore pour décroître lentement à l’adolescence et atteindre des valeurs
stables vers 18-20 ans. C’est une enzyme musculaire dont le taux sanguin est lié à l’activité
musculaire. Chez le sujet alité ou inactif les taux observés sont 2 fois plus bas que ceux d’un
adulte actif. L’activité de l’aldolase intra-érythrocytaire est liée à l’âge des globules rouges et
est donc plus importante chez les sujets présentant une anémie régénérative.
L’hypercorticisme, les traitements par les corticoïdes ou par un analogue de l’ACTH peuvent
induire une augmentation de l’aldolase sérique (2 à 3 fois la normale.)
L’intérêt de son dosage est le diagnostic d’une atteinte musculaire.

PRELEVEMENT ET TRANSMISSION DES ECHANTILLONS
Echantillon
Prélèvement de sang capillaire ou sang veineux
Sérum ou plasma obtenu par centrifugation du sang total recueilli avec ou sans
anticoagulant (héparine, oxalate, EDTA).
Prélèvement
Il n’existe pas de variation en fonction du jeûne ou du cycle nycthéméral.
Particularités
L’hémolyse interfère ; l’activité de l’aldolase intra globulaire est 10 à 20 fois supérieure à
celle de l’aldolase sérique.
Transmission
Conservation sur plasma ou sérum à température ambiante ou à + 4°C pendant 48 heures ;
une semaine à -20°C.
L’horodatage du prélèvement ou du recueil, de l’acheminement et de la réception de chaque
échantillon au laboratoire ainsi que l’identification de toutes les personnes qui accomplissent ces
tâches sont essentiels.




ALDOSTERONE PLASMATIQUE
Les procédures communes aux prélèvements et particulières au laboratoire font l’objet
d’instructions spécifiques
Dans la circulation, l’aldostérone est faiblement liée aux protéines plasmatiques.
Code NABM : 0714


BIOPATHOLOGIE
Variation en fonction :
- De l’ âge : plus élevée chez l’enfant que chez l’adulte.
- De la grossesse : augmentation.
- Des traitements en cours : antihypertenseurs et diurétiques.
- De l’exercice physique : stimulation par l’orthostatisme.
- Du rythme nycthéméral : plus élevée le matin que le soir.
- Des apports sodés ( normalement 6-8 g/j ) : stimulation par restriction sodée.
Préciser la valeur de la natriurèse et de la kaliémie.


PRELEVEMENT ET TRANSMISSION DES ECHANTILLONS
Echantillon
Sur plasma ( EDTA ou héparine ) ou sérum obtenu après centrifugation du sang prélevé par
ponction veineuse.
Les résultats sont légèrement inférieurs sur EDTA ( 15% ).
Prélèvement
Régime normosodé ( examen inutile si natriurèse faible )
Arrêt des traitements antihypertenseurs (8 jours) et spironolactone(1 mois).
Absence d’injection de produit de contraste iodé (3 jours)
Réalisation le matin à jeun
- couché au repos (1heure)
- debout (1heure de déambulation)
Couplage au dosage de la rénine active.
Particularités
Pour une meilleure interprétation et un meilleur suivi du patient, il est recommandé de
respecter les conditions de régime alimentaire et d’interruption du traitement
antihypertenseur.
Eviter les cycles congélations-décongélations.
Transmission
Si le dosage est effectué dans les 24 heures qui suivent le prélèvement, les échantillons
seront conservés à 2°- 8°C.
Si le dosage est effectué plus de 24h après le prélèvement, les échantillons seront
conservés à -20°C.
L’horodatage du prélèvement ou du recueil, de l’acheminement et de la réception de chaque
échantillon au laboratoire ainsi que l’identification de toutes les personnes qui accomplissent ces
tâches sont essentiels.


ALPHA FOETO PROTEINE (AFP)
Les procédures communes aux prélèvements et particulières au laboratoire font l’objet d’instructions
spécifiques.
Est exclus le dosage de l’AFP dans le cadre du diagnostic prénatal (NABM 4000 pour les marqueurs
de la trisomie et NABM 4020 pour le liquide amniotique)
Code NABM : 0320
L’ alphafoetoprotéine, AFP, est un marqueur de première intention dans les cancers primitifs
hépatiques et les tumeurs testiculaires non séminomateuses.

BIOPATHOLOGIE
Prise en charge limitée au suivi thérapeutique : indiquer sur la prescription, la pathologie,
ainsi que les modalités et la date du traitement .
Détection précoce des récidives.
Des augmentations non spécifiques sont observées lors de pathologies hépatiques bénignes
(hépatites aiguës et chroniques) et de dialyse
Au cours de la grossesse :
- augmentation dans le sérum maternel à partir de la 12ème semaine de gestation. Les
taux sont très élevés à la naissance et dans les premiers mois, en particulier chez le
prématuré, puis diminuent progressivement pour atteindre les valeurs de l’adulte vers
l’âge de 8 mois ;
- dans le sang maternel les variations sont fonctions de différentes situations normales
ou pathologiques comme :
- le poids de la parturiente
- la présence d’un ou plusieurs foetus
- la présence associée d’un DID
- les troubles rénaux du foetus et/ou la présence de malformations foetales

PRELEVEMENT ET TRANSMISSION DES ECHANTILLONS
Echantillon
Le sang veineux est recueilli sans anticoagulant, mais selon la technique de dosage,
l’héparine ou l’EDTA peuvent être utilisés comme anticoagulant.
Le dosage peut être effectué sur un liquide de ponction.
Prélèvement
La programmation et la périodicité du prélèvement sont fonction de la pathologie, de la
thérapeutique, de l’objectif du dosage (suivi, réponse au traitement, pronostic…)
Des variations nycthémérales n’ont pas été décrites et le jeûne ne semble pas
indispensable.
Prélever une quantité suffisante de sang pour effectuer l’analyse et conserver une quantité
aliquote dans la sérothèque.
Particularités
Selon la technique de dosage, l’hémolyse ou la lipémie peuvent interférer dans le résultat.
Les dosages successifs sont effectués avec la même technique de préférence par le même
laboratoire ; l’examen est réalisé avec reprise d’un échantillon précédent conservé au moins
1 an.
En cas de cancer testiculaire, coupler avec un dosage des bêtas HCG libres.
Transmission
Si le dosage est effectué dans les 24 heures qui suivent le prélèvement, les échantillons
seront conservés à 2°- 8°C.
L’AFP est stable à 2°- 8°C pendant 4 jours et à – 20° C pendant 2 ans.
Les congélations et décongélations successives sont fortement déconseillées.

L’horodatage du prélèvement ou du recueil, de l’acheminement et de la réception de chaque
échantillon au laboratoire ainsi que l’identification de toutes les personnes qui accomplissent ces
tâches sont essentiels.


AMYLASE
Les procédures communes aux prélèvements et particulières au laboratoire font l’objet d’instructions
spécifiques.
code NABM : 1510

BIOPATHOLOGIE
L’activité plus faible à la naissance en raison de l’immaturité pancréatique. Les valeurs
adultes sont atteintes progressivement entre 5 et 10 ans.
La liste des médicaments qui entraînent une élévation de l’amylase est très longue : aspirine,
diurétiques, corticostéroïdes, contraceptifs oraux, indométacine, dérivés morphiniques...
En cas de défaut d’élimination rénale on constate une augmentation de l’amylase :
insuffisance rénale (hyperamylasémie sans hyperamylasurie) macroamylase (rapport
clairance amylase /clairance créatinine diminué)
Prescription systématique devant tout symptôme d’atteinte pancréatique : douleur
abdominale, fièvre, nausée ou perte d’appétit.

PRELEVEMENT ET TRANSMISSION DES ECHANTILLONS
Echantillon
Dosage sur sérum ou plasma hépariné après centrifugation du prélèvement sanguin obtenu
par ponction veineuse.
Prélèvement
Les anticoagulants complexants comme l’oxalate, l’EDTA, le citrate sont à proscrire : les ions
calcium sont indispensables à l’activité de cette enzyme.
Particularités
La salive et la sueur étant particulièrement riches en amylase, attention à toute
contamination, du prélèvement ou des réactifs.
Les étiologies des hyperamylasémies sont très nombreuses et la mesure simultanée de
l’activité de la lipase peut être une aide au diagnostic différentiel d’une pancréatite aiguë.
Une hyperamylasémie persistante après un épisode aigu est un signe de complications.
Transmission
L’activité amylasique est stable à pH neutre (stabilité dans les prélèvements sanguins et pas
dans les autres liquides biologiques comme les urines)
La conservation dans le sang total est d’au moins 4 jours à 20/25°C sur plasma ou sérum : 4
semaines à +4°C et 1 an à –20°C.

L’horodatage du prélèvement ou du recueil, de l’acheminent et de la réception de chaque échantillon
au laboratoire ainsi que l’identification de toutes les personnes qui accomplissent ces tâches sont
essentiels


Apolipoprotéine A1 (Apo A1)
Les procédures communes aux prélèvements et particulières au laboratoire font l’objet d’instructions
spécifiques.
code NABM :1603

BIOPATHOLOGIE
Sexe : taux supérieurs chez la femme et diminution des concentrations après la ménopause
Grossesse : attendre 3 mois après l’accouchement avant d’effectuer une exploration d’une
anomalie lipidique (E.A.L)
Habitudes alimentaires
Tabac, Obésité : diminution des HDL
Exercice physique : augmentation des HDL
Oestrogènes (pilules oestroprogestatives, traitement substitutif de la ménopause) :
augmentation des HDL
Progestatifs (type norstéroïdes androgéniques) : diminution des HDL
Corticothérapie (augmentation des HDL et des triglycérides)
La prescription de l’apolipoprotéine A1, protéine constitutive des lipoprotéines HDL, ne peut
être isolée. Elle doit être associée à d’autres tests dans le cadre d’une EAL (cholestérol total,
triglycérides, HDL-cholestérol, et/ou apolipoprotéine B). Le dosage de l’apo A1 ne devrait
être effectué que dans le cadre d’une EAL lorsque les résultats du HDL-cholestérol sont
inférieurs à 0.9 mmol/L ou supérieurs à 2.05 mmol/L.

PRELEVEMENT ET TRANSMISSION DES ECHANTILLONS
Echantillon
Dosage sur sérum obtenu après centrifugation du sang recueilli par ponction veineuse.
Les échantillons de plasma ne sont pas recommandés.
Prélèvement
Dans le cadre d’un bilan lipidique (avec triglycérides), le patient doit être à jeun depuis au
moins 12 heures.
Particularités
2 à 3 résultats sur 2 à 3 prélèvements différents peuvent être nécessaires pour confirmer un
bilan pathologique observé lors d’une E.A.L
Dosage par néphélémétrie impossible sur certains échantillons très lipémiques
Transmission
Les prélèvements sont centrifugés et les sérums peuvent être conservés à +4°C pendant
une semaine. Pour une conservation supérieure à 7 jours, congeler les sérums entre –15 et
–20°C. Les échantillons congelés ne doivent être décongelés qu’une seule fois.
L’horodatage du prélèvement ou du recueil, de l’acheminent et de la réception de chaque échantillon
au laboratoire ainsi que l’identification de toutes les personnes qui accomplissent ces tâches sont
essentiels.


dans le reste le liste il y a : la structure + la référence 

Antigène carcino embryonnaire (ACE)
C. SIMONNET, LABM RUFFIE BORDEAUX
Acide urique
M. FENEANT-THIBAULT– Service de biochimie du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Aldolase
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris.
Aldosterone plasmatique
E. PUSSARD- S. BRAILLY-TABARD - Laboratoire d’hormonologie, Hôpital BICETRE, AP Paris.
Alpha foeto protéine (AFP)
C. SIMONNET, LABM RUFFIE BORDEAUX
S. BRAILLY-TABARD - LABORATOIRE D’HORMONOLOGIE – Hôpital BICETRE – AP Paris
C. SIMONNET – LABM RUFFIE – Bordeaux
Ammonium
A. BOUTRON – Service de biochimie - Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Amylase
A. BOUTRON – Service de biochimie - Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Apolipoprotéine a1 (apo a1)
A. BOUTRON et AL. LEGRAND – Laboratoire de biochimie1 – Hôpital BICETRE
Apolipoprotéine b (apo b)
A. BOUTRON et A. LEGRAND – Laboratoire de biochimie1 – Hôpital BICETRE
Beta 2 microglobuline (β2 M)
C. SIMONNET, LABM RUFFIE BORDEAUX
β HCG libre (f β HCG)
C. SIMONNET, LABM RUFFIE BORDEAUX
Bilirubines
A ; BOUTRON - Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
CA 15.3
C. SIMONNET, LABM RUFFIE BORDEAUX
CA 19-9
C. SIMONNET, LABM RUFFIE BORDEAUX
CA 125
C. SIMONNET, LABM RUFFIE BORDEAUX
Calcium total
A. BOUTRON - Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Catecholamines plasmatiques
E. PUSSARD- S. BRAILLY-TABARD - Laboratoire d’hormonologie, Hôpital BICETRE, AP Paris.
Cholestérol
A. BOUTRON - Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Cycle cortisol
B. POGGI, MC. GELINEAU, I. DENIS – Laboratoire de biologie – HOTEL DIEU – Lyon
Cortisol / test de freination
B. POGGI, MC. GELINEAU, I. DENIS – Laboratoire de biologie – HOTEL DIEU - Lyon
Cortisol
B. POGGI, MC. GELINEAU, I. DEN – Laboratoire de biologie – HOTEL DIEU – Lyon
Créatine kinase (CK)
AUDREY BOUTRON - Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Créatinine
A. BOUTRON - Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE –AP Paris
Creatininurie
A. BOUTRON - Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE –AP Paris.
Cuivre
A. BOUTRON - Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE - AP Paris
CYFRA 21.1
C. SIMONNET, LABM RUFFIE BORDEAUX
Digoxine
B. POGGI, MC. GELINEAU, I. DENIS – Laboratoire de biochimie – HOTEL-DIEU – Lyon
Electrophorèse des protéines
A. BOUTRON - Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE –AP Paris.
Electrophorèse des protéines urinaires
A. BOUTRON - Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE –AP Paris.
Fer
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Gaz du sang
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Gamma glutamyl transférase (GGT)
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Glucose
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Gonadotrophines FSH – LH
S. BRAILLY-TABARD - Laboratoire d’hormonologie, Hôpital BICETRE, AP Paris.
HDL-Cholestérol
A. BOUTRON ET A. LEGRAND – Laboratoire de Biochimie 1 – Hôpital BICETRE – AP Paris
Hémoglobine glyquée A1C
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Homocystéine totale
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Hormone corticotrope (ACTH)
S. BRAILLY-TABARD – Laboratoire d’hormonologie, Hôpital BICETRE, AP Paris.
Hydroxyproline totale et libre urinaire
A. BOUTRON - Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE –AP Paris.
Ionogramme (Na, K, Cl, CO2)
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Ionogramme urinaire
A. BOUTRON - Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE –AP Paris.
Lactate
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Lactate et pyruvate
A. BOUTRON - Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE–AP Paris.
Lactico deshydrogenase (LDH)
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Lipase
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Lipoprotéinogramme
A. BOUTRON ET A. LEGRAND -Laboratoire de Biochimie 1 –Hôpital BICETRE – AP Paris
Lipoprotéine Lp(a)
A. BOUTRON ET A. LEGRAND -Laboratoire de Biochimie 1 –Hôpital BICETRE – AP Paris
Magnésium
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Microalbuminurie
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Myoglobine
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Neurone specific enolase (NSE)
C. SIMONNET – LABM RUFFIE BORDEAUX
Osmolarité
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Phosphatases alcalines
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Phosphore
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Potassium
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Prostate specific antigen - PSA ET PSA LIBRE
S. BRAILLY-TABARD – Laboratoire d’hormonologie, hôpital Bicêtre, AP Paris
C. SIMONNET – LABM RUFFIE BORDEAUX
Protéine C réactive
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Protéine monoclonale : recherche ou typage
C. SIMONNET – LABM RUFFIE BORDEAUX
Protéines totales
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Protéines totales sur liquide céphalorachidien (LCR)
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Exploration d’une protéinurie de Bence Jones
A. BOUTRON - Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE –AP Paris.
Sidérémie et Capacité de fixation du fer et
A. BOUTRON - Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Sodium
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Squamous cell carcinoma (SCC)
C. SIMONNET – LABM RUFFIE BORDEAUX
Test au synacthène
S. BRAILLY-TABARD - Laboratoire d’hormonologie, Hôpital BICETRE, AP Paris.
Thyrocalcitonine (TCT) ou calcitonine
C. SIMONNET – LABM RUFFIE BORDEAUX
Thyroglobuline (tg)
C. SIMONNET – LABM RUFFIE BORDEAUX
Transaminases : Aspartate aminotransferase (ASAT) - Alanine aminotransferase (ALAT)
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Triglycérides
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Troponines
A. BOUTRON – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
TSH
B. POGGI, MC. GELINEAU, I. DENIS – Laboratoire de biologie – HOTEL DIEU – Lyon
Urée
M. FENEANT-THIBAULT – Service de biochimie 1 du Pr. A. LEGRAND – Hôpital BICETRE – AP Paris
Vancomycine
B. POGGI, MC. GELINEAU, I. DENIS – Laboratoire de biochimie 1 – HOTEL DIEU – Lyon


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